Tout d’abord, c’est une chance de pouvoir collaborer avec Christophe de la Chaise et toute son équipe car c’est presque une famille. Ensuite c’est une fierté d’avoir été un petit peu adopté par le CECA car durant ces deux jours d’université on sentait non seulement que le courant passait en haute tension des intervenants vers les participants mais bizarrement c’était aussi en « va et vient »grâce aux questions mais surtout à l’attention.Et cela a donné un souffle particulier qui a transcendé les auteurs jusqu’à ce magnifique crédo de la confiance d’Eric Emmanuel qui a finalement été le sommet et la base de ces deux stimulantes journées. Vivement la fin des vacances l’année prochaine qu’on recommence à travailler. Albéric
Christophe, merci de m’avoir permis de participer à cette formidable Université d’été et bravo tant ce fut à mes yeux une réussite ! Comme vous avez sans doute déjà entendu de nombreuses louanges, pour votre équipe et pour vous-même, je vais tâcher simplement de vous parler avec le cœur, de ce que j’ai ressenti. A trois reprises durant ces deux jours, l’émotion m’a envahi, submergé.. – à la lecture par Vianney de la chanson de Mannick « je connais des bateaux » – durant le récit par Philippe (Tim) Guénard de son parcours du combattant – dans le sourire, la sagesse et l’humilité d’Eric Emmanuel Schmitt J’ai supposé que Vianney était votre fils, vu la tendresse que vous lui témoigniez. Il porte un magnifique prénom qui est aussi, vous le savez n’est-ce pas, le nom du Saint Curé d’Ars. Au-delà d’une parfaite diction, il a porté ce texte avec une telle justesse et un tel degré de pureté, qu’il m’a transporté (pendant) et conforté (après) dans l’idée que nous devrions plus souvent écouter les enfants que l’inverse ! L’écoute, l’enfance… Des idées pour une prochaine université ? A titre d’anecdote, voici comment les mots, les idées et les actes s’enchaînent parfois sans que l’on maîtrise la chaîne tout à fait et dont on peut simplement se réjouir… – Chritophe André nous mit en garde dès l’entame « Parfois, ce n’est pas par timidité mais par manque d’humilité que nous n’osons pas nous exprimer » et nous encouragea « Osez ! » – Ses mots résonnèrent dans ma tête « Osons! » – Dès lors, à l’issue de chaque passage, un pendule d’émotion au fond de la gorge, je levai le doigt timidement pour poser « ma » question, espérant et redoutant que vous m’interrogiez – Lorsqu’Henry Quinson termina son épitre, je ne me cachai plus, j’eus même l’impression que vous me disiez « la prochaine, c’est pour toi ». – Je compris pourtant bien vite que c’était à un monsieur gesticulant hardiment derrière moi que vous faisiez signe… – Amusé cette fois que le sort s’acharne de la sorte, j’écoutai attentivement la question d’un autre, et la réponse du père – C’est alors, attendant l’arrivée du sacro-saint TGV et de son illustre locataire, que j’eus un « flash »: c’est ainsi que je nomme les idées qui s’imposent à moi.. – Je me rendis compte qu’il y avait peut-être une excellente raison qui m’avait conduit jusqu’alors à ne pas être interroger et donc à ne pas poser de questions aux intervenants: – Le voulais-je assez fort ? En effet, si j’avais eu à faire de l’ordre dans mes envies, si le bon génie n’avait exhaussé pour moi qu’un seul vœu, lequel aurais-je choisi ? – D’oser parler à Eric Emmanuel Schmitt, bien sûr… Sans savoir pourquoi, d’ailleurs, puisque je n’avais jamais rien lu de lui jusque là ! – Quelque chose de son sourire, de la lumière qui émane de lui, quelque chose qui ne s’explique pas… – C’est donc plein de l’espoir (celui de la dernière chance ?), de confiance (…), que j’attendis patiemment la fin de son exposé, passant et repassant chaque mot cent fois dans ma tête, pour lever la main et capter votre regard (après que vous vous soyez vous-même – et vous avez bien eu raison – fait le cadeau de « lui » poser « votre » question). – Vous me vîmes puisque je « bondis » en quelque sorte vers vous – j’étais au 2ème rang – et je pus donc enfin « lui » poser « ma » question – Je perdis naturellement mes moyens, et bafouillai autant que faire se peut, comme Odette tout le Monde, tentant de me rattraper en pleine chute en citant Voltaire.. – « Heureusement que ce n’est pas moi qui lut le texte de Mannick », me dis-je alors ! – A la table des autographes, vers laquelle je me trainais malgré mes jambes chancelantes après cette piètre prestation, nous avons ri – Eric Emmanuel Schmitt et moi-même ! – Je lui ai en effet avoué avoir compris par l’exemple ce que put ressentir Odette lorsqu’elle perdit ses moyens au moment de rencontrer son auteur favori, – Sur la préface du livre qu’il me dédicaça, Eric Emmanuel Schmitt écrivit: « pour Noé, avec tout l’optimisme de son père, et ma sympathie » ! C’est fort de cet optimisme-là que j’ai quitté l’université d’été Hommes Entreprises 2009, et que je continue mon chemin, espérant vous retrouver l’année prochaine pour de nouvelles aventures ! Merci Christophe… Et merci mon bon génie ! Sébastien Dumont le Cœur à l’ouvrage
un véritable enchantement! merci à vous et merci à ceux qui m’ont chaleureusement recommandé ce séminaire.j’en suis ressortie pleine de confiance en la vie et en la nature humaine. j’ai pu oublier les bassesses de ce monde alors que nous n’avons cessé d’en entendre parler pendant 2 jours, drôle de paradoxe n’est-il pas? les interventions qui perdurent en mon esprit et j’y fais référence souvent sont celle de Christophe André et d’Eric Emmanuel Shmitt.les autres m’ont beaucoup plu, j’y ai appris des choses, elles m’ont nourri émotionnellement mais la vie est ainsi faite, la sélection naturelle de la mémoire (affective ou cognitive??)est incontrôlable. Depuis je ne cesse de répandre mon enthousiasme autour de moi et ai fait des futurs émules pour la session 2010! cordialement
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