Début 2013, les défis ne manquent pas: au Medef Gironde, en novembre dernier, l’économiste Christian Saint-Etienne nous prédisait une année catastrophique ! (je mets un point d’exclamation, mais ne sais pas encore si cet augure peut être conjuré, tant la situation politico-économique actuelle semble inextricable pour nos dirigeants…)

Depuis le début de l’année,  pas un jour ne passe, sans qu’un ami, une relation de travail, aux formules traditionnelles de bons voeux, ne croit bon d’ajouter: « car cette année s’annonce très dure !… ».

De quelques siècles en arrière, Aristote nous dit:  » nous sommes ce que nous répétons chaque jour ».

S’il dit vrai, nous sommes mal partis, nous, Français, incorrigibles pessimistes !

Concentrons-nous plutôt sur nos projets, sur nos envies, sur les belles idées, celles qui nous portent, qui nous donnent du souffle, de la hauteur !

Soyons fidèles à nos valeurs.

Distinguer l’essentiel de l’important

Sachons distinguer ce qui est important de ce qui est essentiel: conjoint, amis, enfants, celles et ceux, comme dit Luc Ferry, pour qui nous serions prêt à donner notre vie.

La génération Y est parfois moins facile à manager, mais je crois qu’elle sait mieux que ses aînés à quoi elle tient; elle ne voudra pas sacrifier sa famille pour son job: aux managers de savoir motiver.

En ce début d’année, je vous souhaite donc de vous appuyer sur ce qui est essentiel pour vous donner les moyens de réussir ce que vous jugez important.

(en photo: l’équipe élargie du CECA au milieu des belles vignes de Smith Haut Lafitte; merci à Frédéric GUY)

 

 

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