Savoir que l’échec n’est pas une défaite mais bien un tremplin pour mieux rebondir et progresser est une chose que tout le monde devrait intégrer. Je suis totalement d’accord avec les propos de Charles Pépin. Prenant comme exemple, dans son ouvrage, Steve Jobs cela concrétise cette dimension de réussite après l’échec. Pour moi s’assurer que l’échec n’est pas une honte, dans le milieu professionnel notamment, permettrait peut-être une prise de risque plus importante. Quand Charles Pépin dit que tous les managers devrait avoir lu « les vertus de l’échec » cela me semble une bonne idée.
merci Julie; c’est vrai que dans le milieu de l’entreprise s’applique trop souvent le principe de précaution, qui empêche ou réduit les prises de risque