Cet article m’intéresse car la relation à l’autre, pour moi est très importante. Savoir gérer nos « ondes de charme » et nos « ondes de choc », comme le dit Vincent Cespedes, c’est en quelque sorte garantir son entourage. Par exemple quand nous avons nos émotions d’ordre « d’ondes de charme » cela crée une atmosphère positive et inversement pour les émotions d’ordre « d’onde de choc ». Au sein d’une entreprise il est donc normal de recevoir et transmettre nos bonnes ou mauvaises ondes tout en étant vigilant comme le dit si bien le philosophe. Quand Vincent Cespedes déclare que les entreprises, aujourd’hui, sont sur-modalisées et qu’elles ont tendance à nier la violence je suis d’accord dans le sens où les entreprises ne font pas de prévention sur ce sujet ou autre, mais en même temps je ne suis pas complétement emballée par cette affirmation. Je pense qu’en 2018 les entreprises sont capables de canaliser ou d’extraire des débordements possibles et de prendre conscience des violences possibles (sur les réseaux ou autres moyens de communication).
merci Julie c’est vrai que je suis également surpris par la violence des échanges que l’on peut trouver sur les réseaux sociaux, comme si l’internet était un lieu réservé au défouloir…